Loris Davis

Quand il est stréssé, il ne peut pas s'empêcher de faire quelque chose avec ses main : si il a son IPhone par exemple, il va le verrouiller/déverrouiller

Il adore le football, le sport en général. Ensuite, deux passions qui vont ensemble selon lui, les filles et les fêtes.

Loris reste simple. Un jeans avec une ceinture, une chemise retroussée aux manches ou des t-shirts superposés. Quand il fait froid, il apprécie bien un manteau avec une écharpe.

Le 26 Janvier 1988, fête nationale australienne, les modestes Davis accueillirent un nouveau membre de la famille, leur premier enfant qui s'appellera Loris. Jusqu'à ses 5 ans, toute son enfance tournait autour des amis, des jeux de la famille. Comme tout les enfants quoi. Entre temps, Mr Davis qui en plus de son emplois de comptable était passionné par la bourse devint du jour au lendemain un nouveau riche. Ce qui tentait le plus le couple ? Vivre le rêve Américain. Ils partirent donc vers Washington pendant 3 ans. Puis continuèrent vers Los Angeles puis 2 ans après, vers Seattle ou il se stabilisèrent un moment, plus exactement 5 ans. Puis allèrent enfin vers l'inévitable, New York City ! La-bas, Loris y vécut pleinement son adolescence : ses parents l'inscrivirent dans une école des plus sélecte. Il était brillant a l'école, beau, drôle, intelligent, gentleman, tout pour plaire. Il fit des rencontres et des expériences qu'il n'oubliera jamais comme son meilleur ami, sa première copine, ses premières cigarettes, ses première fois en boite, ses premiers snif dans la coke, sa première fois, sa première cure de désintox, sa passion pour le football, son équipe, toutes ces pom-pom girls qui les supportaient...
Lors d'un voyage d'affaire en France, son père ne rentra pas. Pas de nouvelles. Sa mère faisait son possible pour le retrouvé, alerta les autorités, qui elles-mêmes appelèrent les autorités françaises qui elles, avait effectivement retrouvé sa trace. Sais et sauf. Mais marier. Ce fut un drame. La désormais Mme Weihter ne s'en remis jamais. Loris non plus. Il était désormais difficile pour le beau gosse de montrer ses sentiment amoureux et même d'en éprouvé, de faire revivre a une autre ce que sa mère avait vécu...
Il a eu son diplôme haut la main, avec mention et l'assurance d'être pris à l'université de sa vie, entré dans l'équipe de sa vie, Yale. C'est ce jour la que son bon vieux père décida de refaire apparition. Mauvais moment. Loris l'ignora, continua à fêter la remise des diplômes avec ses amis. Rupture totale avec l'homme qui les avait tant blessés.

Il est sorti pendant pas mal de temps avec Mlle Liyah J. Cooper sans trop vraiment éprouvé de sentiment envers la jeune femme. Le jour où ils arrivèrent, jour inévitable, il rompu. Il ne voulait pas revivre cette vieille histoire et ce sentiment d'abandon.
Loris n'a pas d'amis de sexe masculin. La raison est la suivante, des qu'un de ses amis avaient une relation qu'elle soit d'un soir ou pour toujours, "sans le faire exprès", il se retrouvait dans le même lit que les jeunes filles.
A Yale, son gros fantasme sexuel n'est autre que la fascinante et séduisante July Thompson.
Toujours pas remis de son histoire avec Liyah, il continu les coup d'un soir, a de très rares amis qui ne durent pas longtemps et rencontre une fille, April Jonhson, avec qui il couche de temps à autre. Mais rien de sérieux ?
Sa meilleure amie, sa grand-mère, est morte depuis presque 3 ans. Elle seule connait son secret. Si je peux me permettre, elle, au moins, restera muette comme une tombe !